Petit tour du marché

Le soleil tapait fort et Nebur se promenait parmi les étals du marché sans but précis ... Il déambulait entre marchands et acheteurs. Il marchait tête baissée, sa capuche au niveau des yeux et semblait ne se soucier de personne. Il releva la tête lentement et se s'aperçut que l'homme se trouvant devant lui avait une bourse bien remplie, voir trop. Il s'approcha doucement et, discrètement, il coupa la corde qui retenait la bourse et la récupéra. Il s'éloigna ensuite de l'homme et entra dans une ruelle obscure où s'entassaient des caisses et des sacs de marchandises. Il s'assit sur un sac et soupira. Puis, d'un air satisfait, il dit:
"Voila au moins de quoi acheter une potion d'ange ... Peut être même un peu plus ... "
Il attendit quelques minutes avant de se lever et de retourner dans la foule. Il repéra ensuite quelques bourses qui subirent le même sort que la précédente. Enfin, quand il eut amassé assez d'argent, il se dirigea vers les boutiques de riches commerçants qui se situaient au centre du marché. Il passa devant de nombreuses vitrine aussi variées les une que les autres. Il finit par s'arrêter devant une armurerie. Il entra et salua le vendeur de la tete.
"Bonjour cher monsieur ! Que puis-je pour vous ?"
"Je voudrai voir vos meilleurs sabres et vos dagues"
"Tout de suite ..."
Le vendeur se retira dans l'arrière boutique et revint quelques minutes plus tard, les bras chargés de boites et de fourreaux.
"Voila ! Mes plus beaux sabres sont ceux ci, tranchants et légers, leur lame est de taille moyenne; courte mais efficace ! Quand aux dagues, les meilleures que vous trouverez sur le marché ! "
Nebur désigna les armes qu'il voulait acheter:
"Je vais prendre ces deux sabres et cette dague ... Combien je vous doit ?"
Le marchand effectua un bref calcul et répondit:
"13560 pièces d'or s'il vous plait ! Je vous les empaquette ?"
"Non merci ... Je les prend comme ça !"
Nebur paya l'homme, attacha les fourreaux à sa ceinture, sous son manteau pour qu'ils soient cachés à la vue des gens.
Nebur venait de dépenser presque tout l'argent qu'il avait "amassé" au cours de la journée mais il se sentait bien mieux armé !


[Si quelqu'un veut continuer le RP avec moi, je suis ok ...]

Il se faisait tard, la nuit était presque tombée sur le marché quand Choucas vit arrivé Nebur un membre du même clan qu’elle dans une ruelle fort sombre, à la lueur de la pleine Lune elle reconnut que c’était lui, sa capuche cachait un peu ses yeux, il lui semblait aussi qu’il cachait quelque chose sous sa cape mais on ne parvenait pas à distingué ce que c’était….

« Bonsoir Nébur !! Que deviens-tu ? »

Il ne restait que nous deux dans cette ruelle sombre, on ne pouvait à peine distinguer où l’on marchait, alors nous continuâmes jusqu'à trouvé des caisses pour s’y assoir un instant et discuté.

« Pourrais-tu m’aidé Nebur ? Je suis à la recherche d’armes de très bonne qualité, connais-tu un marchand ? Ou quelqu’un qui saurait m’en procuré, je viens de reprendre l’élevage des Dinoz de mes parents mais ils n’avaient pas d’armes assez bonnes pour que je puisse les utilisées et je ne trouve personne pour me les réparées, il y beaucoup de prédateurs et je ne pourrais combattre avec tout mes dinoz, j’en ai qui sont encore un peu jeune pour ça »

La nuit était tombée mais cette pleine lune nous éclairait assez pour que Choucas voit Nébur relevé sa cape, à ce moment là un bruit sec se fit entendre, nous nous retournâmes soudainement et une ombre s’approchât de nous ….

Regardant Nébur du coin de l’œil Choucas compris que le combat allait commencer, ils se dirent que ce combat se passerait bien même si leurs adversaires étaient cinq ils y avait peu de chance qu’ils en sorte vainqueurs, leurs armes n’étaient pas ce qu’il y a de mieux, c’était un point forts pour Nébur et Choucas.

Au moment où le chef exigea l’or, Nébur lui répondit :

« Il faudra me passer sur le corps si vous voulez mon or !! »

Nébur s’écria d’un coup net :

« A l’assaut, nous vous aurons mort ou vif !!!! »

Nous n’entendions plus que le bruit des épées l’une contre l’autre, nous étions déterminés à faire ce qu’il nous semblait juste, gardé ce butin était une chance de survivre, c’était notre force, les mêmes idées nous rejoignait. En combattant ensemble ont savaient ce que chacun de nous devaient faire, c’est comme si nous le savions à l’avance…..